Des responsables qualité m'ont dit...
Secoué par les apprentis responsables qualité, je contacte leurs ainés et sollicite une interview personnelle au cours de laquelle je leur poserai trois questions : qu'est-ce que vous faites, qu'est-ce qui est difficile, avec qui travaillez-vous. Etant visuel et kinesthésique - je comprends par des schémas et je raffole de visites d’atelier - je rencontre chacun sur son lieu de travail.
Voici la synthèse des sept premières rencontres.
Voici les difficultés les plus souvent citées.
Notez bien. Il s'agit d'une initiative personnelle, je n'ai pas de commanditaire - ou mieux, je suis mon propre commanditaire, pour l'instant, puisque a- j'ai le pouvoir de décider de mon travail, b- j'ai la main sur mes ressources, à savoir moi-même et c- j'ai un grand intérêt personnel et, le cas échéant, business, à ce que cette initiative soit fructueuse.
Je cherche à produire une communication courte, un discours fort, à l’adresse de commanditaires business.
Si je me lançais le nez au vent sans tout d'abord rencontrer les bénéficiaires de mon initiative, je risquerais 1- de faire fausse route et 2- de ne trouver personne pour financer cette impasse.
Ce travail préliminaire s'aligne parfaitement avec mon objectif : aider mes contemporains à réaliser leur job avec économie de moyen et de temps afin qu'ils investissent l'énergie sauvée dans ce qui leur tient à coeur. Et, pour ce faire, il me faut transmuter un big boss en commanditaire, c'est à dire le convaincre de financer sans attendre des groupes de travail orientés « juste nécessaire » et l'accompagner dans les actions et les prises de parole inhérentes à son rôle de commanditaire.